Jean-Marc, le premier
(Né le lundi 11 Août à 22h – 2008)
En Août, sous un ciel étoilé s’est déroulé l’évènement :
Le huitième élu d’une dynastie, le soir subitement
s’est intégré dans le cycle de l’existence, en cette année,
dans le cercle familial, c’est l’arrivée du nouveau né!
“Lorsque l’enfant parait, a dit Victor Hugo
Le cercle de famille applaudit, c’est très beau”
On était aux sept jours de la semaine, aux sept pétales de la rose
Aux mystères cachés dans le nombre des sept…, de la prose
à la poésie, les sept muses… et pour l’équilibre cosmique
Vient le nombre huit, joie du ciel à la terre et cet enfant unique
Inaugure un chemin neuf… celui du masculin
Les sept sœurs auront ainsi des frères pour égayer leur féminin,
Ce huitième se verra protégé par Sainte Claire et Notre Dame
Clara c’était le onze et la Vierge le quinze et d’elles, il se réclame
Le nouveau né vit encore dans son profond sommeil
Avant de s’éveiller… la vie l’attend toute belle et vermeille
Son père et sa mère heureux comme bien on pense
Reçoivent les amis, les rois mages et plein d’autres excellences
« On l’a nommé Jean-Marc, le fils aussi d’une Madone Marie
Chez qui Saint Pierre avait sauvé sa vie » (Acte 12/12 et 15/37)
J’entends qu’on se demande à qui ressemble-t-il? A son père, à sa mère?
Ce lionceau, né d’un lion? Du zodiac il a du divin tous les repères
Il est venu au monde en ce troisième et merveilleux millénaire
Où l’évolution est vertigineuse, et les progrès spectaculaires.
L’avenir nous attend, c’est nous qui l’engageons, courageux!
Dans la civilisation, tous, nous laissons notre trace dans l’enjeu
Pères, mères, enfants petits fils, cousins, cousines… dans la continuité
Nous appointons la mosaïque humaine avec capacité.
Nourrisson, Jean-Marc, tu seras chaudement entouré comme tes sœurs
Tu grandiras: les Saints et la Vierge te protègent et le Seigneur
Ils te donneront l’élan, la force, l’amour, la patience,
Pour épanouir tes dimensions en cette trop brève existence
Jésus dans sa ‘méghara’, était aussi un petit enfant;
Dans les bras et les soins de ta mère, tu deviendras adolescent.
Tu seras un joyau très aimé de ton père et de ta mère
Les sentiments humains, l’amour sont toujours vrais, sincères;
Oncles, tantes, sœurs et la suite, …, et les paternels
Vivent la fête, participant à l’évènement, don du ciel
Fils de Byblos, enfant chéri des lumières et du Liban sa fierté
Tes ancêtres, Seigneurs de la région en ont fait la prospérité
Se sont donnés entiers à leur pays de terre et d’hommes
Byblos, ses habitants, c’était leur foi, leur opinion et dogme
D’Adonis, c’était l’eau abondante qui irriguait leurs jardins
Le médecin soignait par amour paysans et citadins
Municipalité, écoles, bienfaisance, théâtre et lettre etc…
virent le jour, les poètes chantaient et officiaient Imans et prêtres
Jadis l’un d’eux inscrivit en lettres d’or notre hymne national
Sur le front glorieux de l’Histoire et en a fait le cinquième point cardinal.
Trois générations de tes illustres aïeux, vigilants
Te regardent petit Jean-Marc, tu n’es pas encore turbulent
dans tes langes tel un prince des contes auréolé
De rayons d’or et des fleurs sur un ciel étoilé
Les anges t’accompagnent et les muses et les fées
Sainte Clara et Térésa, Rébécca et Madeleine seront tes coryphées
Tout ce monde de Saints et de Saintes te bénit
Toi et ta noble famille heureuse et unie
Joseph Matar
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