Grandes Oeuvres

La Septième Triade 19-20-21

L’alpha et l’oméga … une longue route mais l’aventure continue. Dans cet ensemble.

L’arrivé à Bethléem…
La Sainte Famille Cosmique…
L’adoration des rois…

Les trois œuvres sont unies par le thème et la composition. Un demi cercle passe par les trois œuvres discrètement, au centre une pluie de lumière inonde une sphère qui abrite la Sainte Famille, une sphère cosmique, des traits audacieux, un jeu de clair-obscur unique, Bethléem est le centre du Cosmos, de toute l’existence.

Les lignes obliques se croisent avec celles du cercle et créent une agréable harmonie.
En bas de l’œuvre se trouve une baie féerique, une nappe d’eau future côte où les pêcheurs rencontreront le Messie. A gauche, un sentier qui vient de très loin un paysage d’orient, du Liban… des rochers, des terrasses…

Marie est assise sur le dos de l’âne. L’âne et Saint Joseph se confondent ; lignes et couleurs. Le rêve nous emporte. A droite la toile qui fait suite bouillonne par les humains et les chérubins.

Les trois rois mages agenouillés offrant leurs présents, une foule de bergers, mères, enfants… accompagnés par une autre foule céleste assiste au spectacle. Les personnages sont dilués dans une même atmosphère très mystique.

Grandes Oeuvres

La Septième Triade 19-20-21

L’alpha et l’oméga … une longue route mais l’aventure continue. Dans cet ensemble.

L’arrivé à Bethléem…
La Sainte Famille Cosmique…
L’adoration des rois…

Les trois œuvres sont unies par le thème et la composition. Un demi cercle passe par les trois œuvres discrètement, au centre une pluie de lumière inonde une sphère qui abrite la Sainte Famille, une sphère cosmique, des traits audacieux, un jeu de clair-obscur unique, Bethléem est le centre du Cosmos, de toute l’existence.

Les lignes obliques se croisent avec celles du cercle et créent une agréable harmonie.
En bas de l’œuvre se trouve une baie féerique, une nappe d’eau future côte où les pêcheurs rencontreront le Messie. A gauche, un sentier qui vient de très loin un paysage d’orient, du Liban… des rochers, des terrasses…

Marie est assise sur le dos de l’âne. L’âne et Saint Joseph se confondent ; lignes et couleurs. Le rêve nous emporte. A droite la toile qui fait suite bouillonne par les humains et les chérubins.

Les trois rois mages agenouillés offrant leurs présents, une foule de bergers, mères, enfants… accompagnés par une autre foule céleste assiste au spectacle. Les personnages sont dilués dans une même atmosphère très mystique.